Le cardiologue prenant en charge ces patients en phase de décompensation en USIC doit en effet acquérir des compétences en réanimation médicale du fait des conséquences viscérales, notamment pulmonaires, rénales et hépatiques, de la défaillance cardiaque. Les équipes médicales et paramédicales confrontées à ces patients souvent en fin de vie doivent être formées aux soins palliatifs. Mais la vraie réponse à ce défi est avant tout technologique, seul le recours à une assistance circulatoire mécanique permettrait de sauver ces patients. Suivant l’exemple du développement des méthodes d’assistance percutanée type ECMO qui, en améliorant l’état hémodynamique des patients les plus graves,[...]
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