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Rhumatologie
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L’enjeu actuel du traitement de l’ostéoporose postménopausique est d’identifier les femmes à risque de fracture devant bénéficier d’un traitement anti-ostéoporotique. La mesure de la densité osseuse (DMO) est indispensable au diagnostic d’ostéoporose, mais elle est insuffisante pour la prédiction du risque de fracture. L’antécédent personnel de fractures par fragilité osseuse (vertébrales et non vertébrales) est le facteur de risque majeur du risque de nouvelle fracture. L’évaluation du risque de fracture repose sur l’âge, l’antécédent personnel de fracture, la présence de facteurs de risque de chute et la mesure de la DMO.

L’indice composite FRAX proposé par l’OMS permet de calculer le risque absolu à 10 ans de fractures majeures de l’ostéoporose et de l’extrémité supérieure du fémur.

Dans leur actualisation, les recommandations françaises du traitement de l’ostéoporose postménopausique précisent les situations où le FRAX peut être utilisé : inutile quand l’indication à traiter est évidente (fracture sévère ou T ≤ -3) et utile dans les autres situations.

Risque cardio vasculaire
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Les études récentes ont montré que le psoriasis est associé à un risque accru de comorbidités incluant le syndrome métabolique, l’obésité, le diabète, l’hypertension, la dyslipidémie, la stéatose hépatique et le tabagisme. Ce risque accru de comorbidités est indépendant des facteurs de risque surajoutés, en particulier les troubles addictifs et la sédentarité. Les données concernant la morbidité cardiovasculaire sont plus controversées et semblent intéresser la population jeune avec psoriasis sévères.
L’impact des traitements systémiques sur les comorbidités cardiométaboliques reste cependant incertain. La détection et la prévention des comorbidités, et si besoin leur traitement précoce par des mesures avant tout hygiéno-diététiques, doivent rester au centre de la prise en charge thérapeutique des malades atteints de psoriasis et rhumatisme psoriasique.

Vasculaire
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Les résultats à deux ans de l’étude CATT ont fait l’objet fin avril d’une publication électronique avant impression. L’étude reprend le schéma initial avec 4 groupes de traitement suivant l’anti-VEGF utilisé (Lucentis ou Avastin) et le rythme d’administration (mensuel strict ou PRN). En outre, les patients qui avaient été traités en mensuel strict pendant la première année (que ce soit avec du Lucentis ou avec de l’Avastin) ont été répartis par tirage au sort entre un groupe poursuivant une administration mensuelle et un groupe PRN.

Valeurs à la Une
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Club Méditerranée figure parmi les premiers exploitants mondiaux de villages de vacances avec 1,2 million de clients en 2010/11.A fin octobre 2011, le groupe exploite 74 villages et villas (total de 49 666 lits) implantés en Europe (54), en Amérique (11) et en Asie (9).

Infos Patrimoine
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Un patrimoine immobilier doit être géré ! Le but : optimiser sa rentabilité globale ou encore l’adapter aux cycles de la vie (retraite, transmission, …). Nous le constatons souvent ; vous disposez de revenus fonciers imposables, en plus de ceux de vos Sociétés Civiles Immobilières SCI (cabinets). L’inconvénient, tant que vous êtes en activité, est que ces revenus sont taxés dans la même tranche que vos revenus professionnels.

Vasculaire
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L’étude ALIENOR est une étude de cohorte en population générale âgée, ayant pour objectif l’étude des associations entre les maladies oculaires liées à l’âge (DMLA, glaucome, cataracte, sécheresse oculaire) et les facteurs nutritionnels (acides gras oméga-3, lutéine et zéaxanthine, antioxydants).
Les facteurs génétiques, vasculaires et environnementaux sont également étudiés. Les premiers résultats de cette étude ont permis de confirmer l’association forte de la DMLA avec le gène du facteur H du complément et avec le tabagisme, ainsi qu’une diminution du risque de DMLA chez les forts consommateurs d’acides gras oméga-3. De nombreux autres résultats sont attendus dans les prochaines années sur le rôle des autres facteurs nutritionnels (caroténoïdes, antioxydants), des autres facteurs de risque (génétiques, vasculaires, exposition au soleil…), dans d’autres pathologies oculaires (glaucome, cataracte, sécheresse oculaire).

Vasculaire
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Les dix dernières années ont été marquées par des fluctuations dans les opinions et l’appréhension du traitement hormonal de la ménopause (THM).
Juillet 2002 a été une date et un tournant majeur avec la publication des premiers résultats de l’étude américaine Women’s Health Initiative (WHI), qui ont remis en question le rapport bénéfices/risques favorable, en particulier cardiovasculaire, du THM, du moins celui employé aux Etats-Unis [1]. La brutalité avec laquelle ces résultats ont été présentés dans les médias et immédiatement extrapolés, sans pondération, à toutes les formes de THM et à toutes les utilisatrices ont créé une sorte de panique parmi les femmes et même chez certains prescripteurs. Puis, en août 2003, l’étude britannique, Million Women Study (MWS), a retrouvé une augmentation du risque de cancer du sein chez les femmes sous THM, en particulier estroprogestatif [2].

Vasculaire
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Les actualités 2011 concernent principalement la contraception hormonale sous deux aspects : celui du risque cardiovasculaire, en particulier thromboembolique, et celui de l’observance, simplifiant la conduite à tenir en cas d’oubli. Concernant le DIU, l’originalité est la diminution du risque de pathologie du col chez leurs utilisatrices.

Insuffisance cardiaque
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Les progrès du traitement de l’insuffisance cardiaque systolique, qui ont déjà permis de diviser par deux son taux de mortalité en 20 ans, se poursuivent. La trithérapie anti-neuro-hormonale, associant aux IEC et aux bêtabloquants un antagoniste des récepteurs minéralo-corticoïdes (ARM), est maintenant indiquée chez tous les patients en stade II à IV de la NYHA ne présentant pas d’insuffisance rénale sévère avec une recommandation de classe I et de niveau A.

Divers
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Thérapie cellulaire
Le but de la médecine régénératrice en cardiologie est le repeuplement par de nouveaux myocytes du myocarde détruit par une ischémie. Les essais utilisant les cellules souches mononucléées de la moelle osseuse (BMMNCs) prédominent encore en clinique en 2010-2012, en partie en raison des premiers résultats positifs rapportés dans la littérature il y a plus de dix ans maintenant (tableau I).

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