Quantification des épanchements péricardiques en échographie ou au scanner
Quantification des péricardites : le scan ne fait pas mieux que l’écho.
Quantification des péricardites : le scan ne fait pas mieux que l’écho.
Evénements coronaires ultérieurs : Moitié récidive moitié évolution d’une autre plaque
L’imagerie de strain et de strain rate a émergé ces dernières années comme un outil de quantification précise de la fonction et de la contractilité myocardiques. Elle analyse le déplacement myocardique par le tracking des speckles (marqueurs acoustiques naturels) au sein de l’image ultrasonique bidimensionnelle. Le déplacement géométrique de chaque speckle représente le mouvement tissulaire local.
Les logiciels à disposition permettent le traitement spatial et temporel de l’image obtenue en 2D avec une reconnaissance et une sélection de ces éléments sur l’image ultrasonique.
Les données concernant l’intérêt diagnostique, la validité et les applications cliniques de cette technique sont de plus en plus nombreuses. La valeur clinique de cette technique pourrait être significative, permettant une évaluation rapide et précise de la fonction myocardique segmentaire et globale.
AINS : ils augmentent tous le risque d’événements cardiovasculaires
Syndromes coronaires aigus sur spasme et artères normales : ni décès ni récidive à 3 ans
L’angioplastie primaire reste supérieure à la fibrinolyse même après 75 ans
Clopidogrel et oméprazole : moins de saignements et pas d’interactions
Surveillance à distances des insuffisants cardiaques : pas d’effet
Plaques non serrées découverte au coroscanner : mortalité multipliée par 3,2 à 7,4
Nitrés dans l’angor stable : Oui si douleurs, sinon non