Cette mise à jour est motivée par le fait qu’il y a mention de la DAAP dans six textes de recommandations (intervention coronaire percutanée, en 2011 ; pontage coronaire, en 2011 ; coronaropathie stable, en 2012 ; infarctus du myocarde avec sus-décalage de ST, en 2013 ; syndrome coronaire aigu sans sus-décalage de ST, en 2014 ; évaluation cardiovasculaire périopératoire et prise en charge des patients ayant une intervention chirurgicale non cardiaque, en 2014) et parce que, depuis ces divers textes de recommandations, il y a eu onze études comparant des durées courtes et plus longues de DAAP lors de l’implantation de stents, et un essai comparant la DAAP à une monothérapie par aspirine.
Les présentes recommandations s’appliquent aux stents de nouvelle génération et, en général, aux patients n’ayant pas de traitement anticoagulant oral.
Questions et concepts généraux
Les trois questions critiques sont listées ci-dessous :
- Chez les patients traités avec un stent actif de dernière génération pour une maladie coronaire stable (MCS) ou un syndrome coronaire aigu (SCA), par rapport à une DAAP pendant 12 mois, une DAAP pendant 3 à 6 mois est-elle aussi efficace pour la prévention des thromboses de stent et des événements cardiaques indésirables majeurs et/ou la réduction des complications hémorragiques ?
- Chez les patients traités avec un stent actif de dernière génération, par rapport à une DAAP pendant 12 mois, une DAAP pendant plus de 12 mois (18 à 48 mois) a-t-elle un impact sur le taux de mortalité ? De même, est-elle associée à une réduction des thromboses de stent et des événements cardiaques indésirables majeurs et/ou à une augmentation des complications hémorragiques ?
- Chez les patients après infarctus du myocarde (IDM) avec ou sans sus-décalage[...]
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