- Causes de la syncope
- Maladies du système nerveux autonome
- Maladies du système électrique du cœur
- Maladies structurelles
- Les trois “questions clés”
- Est-ce vraiment une syncope ?
- Peut-on faire d’emblée le diagnostic de la cause de la syncope ?
- Existe-t-il une cardiopathie ?
- Stratification du risque
- Les critères de risque
- Les scores de risque
- Quels examens face à une syncope ?
- Évaluation initiale : interrogatoire et ECG
- L’examen suivant : l’échographie
- Le test d’inclinaison ou tilt test
- Intérêt de l’exploration électrophysiologique
- L’épreuve d’effort
- L’enregistrement continu de l’ECG : des Holter de longue durée au moniteur cardiaque implantable
- Conclusion
La syncope se définit par une perte de connaissance brutale avec perte du tonus postural liée à un bas débit cérébral sans prodromes, de durée courte avec reprise de conscience rapide (fig. 1). Une fois le diagnostic posé, l’objectif principal de la prise en charge est la stratification du risque, afin d’évaluer en urgence les patients présentant un risque d’événements sévères, tout en limitant les hospitalisations coûteuses et inutiles. Les clés de cette prise en charge sont parfaitement détaillées dans les recommandations de l’European Society of Cardiology [1]. À partir de cette stratification du risque, qui va donc permettre de décider ou non d’une hospitalisation, certains examens diagnostiques vont être proposés dont nous allons revoir l’utilité.
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