Stress et pathologie coronaire rappellent le “paradoxe de l’œuf et de la poule” tant les intrications sont grandes. L’étude INTERHEART a ainsi, pour la première fois, souligné à large échelle l’importance des facteurs de risques psychosociaux, débouchant sur le concept récent de psychocardiologie évoqué par Jean-Pierre Houppe dans son article. Il existe, à l’évidence, une sous-estimation du retentissement psychologique des événements coronariens par le corps médical et une insuffisance de sa prise en charge qui obère le pronostic ultérieur. Le rôle des structures de réadaptation sont insuffisantes en elles-mêmes,[...]
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