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À propos des recommandations de la Haute Autorité de santé sur le diabète de type 2 : ça y est, la voilà !

C’était devenu une antienne. Chaque fois que l’on demandait quand allaient paraître les recommandations de la Haute Autorité de santé (HAS) sur le diabète de type 2 (DT2), la réponse était immanquablement “prochainement”. Et cela depuis des années, exactement depuis 2019, date de saisine de la HAS pour proposer de nouvelles recommandations sur le DT2, les précédentes datant de 2013. Dans l’entretemps, la façon d’aborder le diabète et son traitement a été profondément modifiée.

Revues générales
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L’insuffisance cardiaque aiguë est une cause majeure d’hospitalisation et est grevée d’une forte morbi-mortalité. Repérer les malades les plus sévères est d’une importance capitale car cela permet d’adapter, le plus tôt possible et de façon personnalisée, la surveillance ainsi que les thérapeutiques administrées afin d’améliorer le pronostic de ces patients et de cibler précocement les malades éligibles à un projet d’assistance et/ou greffe cardiaque dans le futur.

Billet du mois
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Dorénavant, dans de nombreuses habitations, il n’y a plus de livres, plus de dictionnaires et pas de disques ou de CD. D’ailleurs, certains enfants demandent déjà “Maman, c’est quoi un CD ?” Comme le divertissement, l’information ou la musique sont accessibles en quelques coups de pouce sur une petite interface numérique, pourquoi, à l’heure où tout est numérisable, conserver ces données sur de multiples supports encombrants ?

Revues générales
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Le traitement antiplaquettaire est la pierre angulaire du traitement et de la prévention de la maladie coronaire. L’association de l’aspirine et d’un inhibiteur du récepteur P2Y12 est recommandée dans le syndrome coronarien aigu et après une angioplastie coronaire dans le syndrome coronaire chronique. La durée optimale de la bithérapie antiplaquettaire est très variable et dépend du risque ischémique et hémorragique du patient. Les accidents hémorragiques associés à la bithérapie antiplaquettaire restent les complications les plus fréquentes des agents antiplaquettaires, bien qu’elles soient généralement minimes ou modérées.
Au-delà de l’évaluation individualisée du risque hémorragique, la prise en charge des patients présentant des complications hémorragiques graves est une situation difficile qui nécessite des recommandations générales et spécifiques. La principale adaptation thérapeutique reste l’arrêt de la bithérapie avec la poursuite d’une monothérapie au décours.
Cette revue propose un état des lieux des complications hémorragiques sous traitement antiplaquettaire ainsi que des différentes stratégies thérapeutiques possibles en cas d’hémorragie aiguë.

Revues générales
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Les nouveautés concernant la prise en charge de l’artériopathie oblitérante des membres inférieurs (AOMI) concernent dans un premier temps la reconnaissance de la nécessité de la mise en place d’une prévention cardiovasculaire au moins identique à celle d’un coronarien, compte tenu des données épidémiologiques dont nous disposons et du risque cardiovasculaire très élevé. Le second point concerne le risque plus élevé de complications locales après une revascularisation chirurgicale ou par angioplastie. Il est donc nécessaire de bien peser les indications de revascularisation chez les patients artéritiques.

Dossier : Scanner et IRM en cardiologie
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Dans les recommandations, il existe deux grandes stratégies diagnostiques possibles permettant d’établir le diagnostic d’ischémie sur maladie coronaire stable afin d’orienter le traitement médical et l’éventuelle revascularisation :
– soit la réalisation d’une coronarographie visualisant la présence et la répartition de la coronaropathie, étayée par une évaluation de la réserve de flux fractionnaire (FFR) afin de guider la nécessité d’une revascularisation ultérieure ;
– soit l’utilisation d’un test de stress fonctionnel non invasif, suivi d’une coronarographie pour revasculariser les patients avec un test d’ischémie positif.
Dans ce contexte, l’IRM cardiaque de stress apparaît depuis plusieurs années comme l’un des tests de stress fonctionnel les plus performants avec une excellente corrélation avec la FFR dans l’évaluation de la sévérité d’une lésion coronaire, et ce de façon supérieure aux autres tests d’ischémie (scintigraphie et échocardiographie d’effort).

Dossier : Scanner et IRM en cardiologie
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L’imagerie par résonnance magnétique (IRM) cardiaque permet une analyse morphologique et fonctionnelle précise du cœur, ainsi qu’une analyse tissulaire myocardique et une évaluation des flux intracardiaques. Elle constitue ainsi l’imagerie de référence dans de nombreuses indications telles que les cardiopathies dilatées, hypertrophiques, les cardiopathies de surcharge, les cardiopathies de cause inflammatoire ou encore la dysplasie arythmogène du ventricule droit [1].
Par ailleurs, l’IRM cardiaque constitue un excellent complément de l’échocardiographie pour l’évaluation des valvulopathies. Ses atouts sont nombreux et ses contre-indications sont rares.

Dossier : Scanner et IRM en cardiologie
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Depuis le développement du remplacement valvulaire percutané aortique et sa large utilisation, le scanner cardiaque est devenu l’examen de référence en pré-procédure des pathologies cardiaques structurelles : valvulaire aortique, mitrale et tricuspide, maladie du septum interauriculaire et fermeture d’auricule. Il est aussi utilisé plus largement dans l’évaluation des sténoses aortiques et dans l’étude des dysfonctions de prothèse valvulaire.

Dossier : Scanner et IRM en cardiologie
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Le scanner et l’IRM cardiaque prennent une place grandissante dans la pratique de la cardiologie hospitalière ou de ville. Les recommandations des sociétés savantes, notamment des sociétés française et européenne de cardiologie, réservent un rôle primordial à ces deux modalités d’imagerie, non seulement pour l’exploration des pathologies ischémiques chroniques ou aiguës, mais aussi pour de nombreuses pathologies cardiovasculaires structurelles.

Billet du mois
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Aujourd’hui, lorsqu’il franchit la porte de mon cabinet, je serre la main de mon patient en le regardant dans les yeux, je lui souris, le fais assoir puis l’interroge, m’enquiers des effets de sa maladie sur sa vie, puis évalue ce qu’il faut faire, les examens pertinents, les mots adaptés pour rassurer et aider. Pour en décrire le cadre, c’est ici une relation d’humanité.

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