Influence de la classe thérapeutique sur la compliance au traitement dans l’HTA : méta-analyse
Meilleure compliance pour les IEC et les antagonistes de l’angiotensine II
Meilleure compliance pour les IEC et les antagonistes de l’angiotensine II
Contrôle à distance des défibrillateurs implantés : beaucoup mieux que le suivi classique
Pas de modification de la mortalité
Plus grande susceptibilité aux présyncopes la nuit
Hémorragies de reperfusion en IRM : un facteur de mauvais pronostic
Le phénomène de Raynaud se définit comme une ischémie paroxystique des extrémités, sa prévalence est très grande dans la population générale avec une prédominance féminine. Sa sémiologie précise rend souvent aisé le diagnostic et une enquête simple va permettre de distinguer les formes idiopathiques (maladie de Raynaud), de loin les plus nombreuses, des formes secondaires (syndrome de Raynaud).
Le traitement des formes idiopathiques repose principalement sur une hygiène de vie. Le traitement des formes secondaires repose sur les médicaments vasodilatateurs ; les inhibiteurs calciques sont au premier plan. La sclérodermie systémique est particulièrement liée à cette anomalie vasculaire qui pourrait en être l’un des dérèglements clés ; des travaux prospectifs ont montré que l’identification précoce des auto-anticorps de la maladie et d’anomalies capillaroscopiques pouvait prédire le risque d’évoluer vers une authentique connectivite. Cela pourrait permettre d’identifier des malades à risque et d’envisager des traitements préventifs de progression de la maladie systémique.
Gestion de l’allergie au clopidogrel… sans obligation de l’arrêter
Méta analyse : Un BNP élevé identifie des patients à ischémie inductible
Un diabétique de 50 ans décède 6 ans plus tôt et 40% sont des causes non vasculaires
Valeur du scanner coronaire : parfaite pour les plaques, un peu moins pour les sténoses