L’année 2010 a été marquée sans conteste dans le domaine des coronaropathies par le “pavé” des recommandations [1] parues dans l’organe officiel de la Société Européenne de Cardiologie, et qui a été secondairement largement repris, résumé et commenté par la presse spécialisée.
Volumineux document donc, qui inclut les bonnes pratiques de prise en charge diagnostique et thérapeutique des patients coronariens en angor stable ou ischémiques silencieux.
L’une des originalités de ce document réside dans la signature conjointe de cardiologues, interventionnels ou non, et de chirurgiens cardiaques, dont on imagine rétrospectivement les discussions polémiques, à l’image de celles que cette publication a secondairement suscitées.