Impact de l’obésité sur la valeur pronostique du NT-pro-BNP dans l’IDM aigu de l’obèse
En cas d’IDM, le NT-pro-BNP est considérablement moindre chez les obèses
En cas d’IDM, le NT-pro-BNP est considérablement moindre chez les obèses
Une unique mesure d’une capacité cardiorespiratoire en milieu de vie prédit le devenir
Les récidives après 1 an suggèrent un processus pathologique évolutif persistant
Impact de l’ischémie et de la cicatrice évalués en scintigraphie sur la revascularisation
Une réduction de la masse osseuse a été constatée chez des patients atteints de la maladie d’Alzheimer (MA) dès les stades précoces du déclin cognitif. Cette baisse de la densité minérale osseuse (DMO) constitue un facteur de risque majeur de fragilité osseuse et de fracture chez les patients atteints de troubles mnésiques.
Si le col fémoral représente le site privilégié des fractures, les vertèbres, les côtes et d’autres membres peuvent être touchés. Par ailleurs, des études de cohorte ont démontré que les femmes ayant à l’inclusion une DMO basse au col fémoral étaient les plus exposées à développer une démence de type Alzheimer. De nombreux facteurs semblent être impliqués dans la perte osseuse au cours de la MA (âge, sexe…). Un indice de masse corporelle bas constitue aussi un facteur de risque important de perte osseuse. Egalement, une hypovitaminose D souvent profonde a été constatée chez des patients atteints de la MA associée à une hyperparathyroïdie secondaire. Des études ont montré qu’une supplémentation en vitamine D améliorait les performances musculaires des sujets âgés carencés et qu’une exposition solaire régulière avait un effet bénéfique sur le gain de masse osseuse chez les femmes atteintes de la MA. D’autres facteurs de perte osseuse semblent plutôt liés directement à la MA. Enfin, une corrélation a été établie entre présence de l’apolipoprotéine E4 et perte osseuse accélérée dans la MA.
Le rôle de la micronutrition pour la prévention des maladies dégénératives liées au vieillissement, touchant le cœur, le cerveau, le squelette ou les yeux, est de mieux en mieux étayé scientifiquement. Ainsi, une alimentation riche en acides gras oméga 3 et en antioxydants diminue le risque cardiovasculaire et pourrait également diminuer le risque de maladie d’Alzheimer ou de dégénérescence maculaire liée à l’âge.
Une approche globale de prévention nutritionnelle permettra probablement d’améliorer l’état de santé de nos populations vieillissantes, par des recommandations nutritionnelles, l’adaptation de l’offre alimentaire et/ou l’utilisation de compléments alimentaires.
en cas de FE conservée et de FA paroxystique réfractaire…
Cette absence d’effet lors des implantations précoces serait due au…
L’étude de J. Rodés-Cabau et al. (J Am Coll Cardiol…
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