Billet du mois

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Ce billet poursuit une série sur le thème des limites de la raison. L’objectif de cette série est de familiariser les médecins avec certains éléments qui limitent l’usage de la raison tels qu’ils ont été découverts puis définis par les psychologues et les sociologues et qui ont comme nom paresse, heuristique, biais cognitifs, influence sociale, difficulté à s’extraire du raisonnement simple ou binaire pour aborder les probabilités et l’incertitude.

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Les premières recommandations internationales de cardio-oncologie sont parues le 1er novembre dans l’European Heart Journal. De toute évidence, à l’heure actuelle, dans l’immense majorité des pays, la pratique cardiologique, libérale ou hospitalière, ne pourra pas les appliquer. Faut-il s’en plaindre ou y voir une occasion de réfléchir à l’organisation de sa pratique ?

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La publication, en septembre 2022, de recommandations internationales pour la prise en charge du diabète, marquées par plusieurs modifications et clarifications par rapport aux nombreuses recommandations antérieures, me conduit à différer la suite de la saga en cours sur “les limites de la raison” pour faire part de l’évolution proposée.

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Ce billet poursuit une série sur le thème des limites de la raison. Son objectif est de familiariser les médecins avec certains éléments qui limitent l’usage de la raison tels qu’ils ont été découverts puis définis par les psychologues et les sociologues et qui ont comme nom paresse, heuristique, biais cognitifs, influence sociale, difficulté à s’extraire du raisonnement simple ou binaire pour aborder les probabilités et l’incertitude.

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Ce billet est le deuxième d’une longue série sur le thème des limites de la raison. L’objectif de cette série est de familiariser ses lecteurs avec certains éléments qui limitent l’usage de la raison tels qu’ils ont été découverts puis définis par les psychologues et les sociologues et qui ont comme nom paresse, heuristique, biais cognitifs, influence sociale, difficulté à s’extraire du raisonnement simple ou binaire pour aborder les probabilités et l’incertitude.

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Ce billet est le premier d’une longue série d’articles sur le thème des limites de la raison. Ils parleront de nombreux facteurs qui limitent le raisonnement utilisant la logique mais pratiquement sans faire appel au concept d’intelligence dans son sens classique, celui de faculté de comprendre. Pourquoi ? Parce que, si notre démarche anthropocentrée qualifie l’humain d’animal doué de raison, et si des économistes dits néoclassiques ont quasiment fait du concept d’homme rationnel un axiome permettant d’élaborer des modèles (“ l’homme fait des choix rationnels : après avoir évalué les diverses options, il retient celle qui lui est la plus favorable afin de maximiser sa satisfaction”), les psychologues et les sociologues ont démontré que l’humain a de fréquents et nombreux défauts de raisonnement. Ainsi, les choix qu’il fait ne sont pas toujours en accord avec la logique ou avec ses intérêts.

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Les avancées thérapeutiques récentes concernant la prévention des événements cardiovasculaires (CV) chez les patients ayant un diabète de type 2 (DT2) ou une maladie rénale chronique (MRC) vont probablement conduire le cardiologue à étendre son champ d’action à ces deux maladies. Le chemin à parcourir, rappelant ceux des domaines de l’hypertension artérielle (HTA) et des dyslipidémies, fera-t-il des cardiologues des internistes de la prévention CV ? C’est-à-dire des spécialistes prenant en compte plusieurs paramètres au-delà des paramètres cardiaques exclusifs ?

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En incluant le néologisme “iel” dans leur dictionnaire, les rédacteurs du Dico en ligne Le Robert ont suscité une polémique médiatique qui n’est que le reflet d’une évolution sociétale concernant deux grandes questions complémentaires sur ce qu’est une société : comment celle-ci considère-t-elle l’inclusion de tous ses citoyens, aussi divers soient-ils ? Et comment le langage doit-il rendre compte de cette approche ?

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À l’automne 2021, le dictionnaire Le Robert a choisi de faire figurer le pronom “iel” dans son édition en ligne (Dico en ligne Le Robert), créant par là même une polémique médiatique. Ce pronom est une proposition de contraction des pronoms français “il” et “elle” ce qui, comme they en anglais, a pour objectif d’aider les personnes ne s’identifiant pas à un genre biologique à se définir. La définition qui en est donnée dans le dictionnaire Le Robert est la suivante “iel, iels : pronom personnel. RARE. Pronom personnel sujet de la troisième personne du singulier et du pluriel, employé pour évoquer une personne quel que soit son genre. L’usage du pronom iel dans la communication inclusive. – REM. ON ÉCRIT AUSSI ielle, ielles.”