- Pourquoi faut-il traiter l’hypotension orthostatique ?
- 1. En raison de la morbimortalité qui lui est associée
- 2. En raison de son impact médico-économique
- Les aspects généraux du traitement de l’Ho
- 1. Identifier et corriger les facteurs aggravants
- 2. Évaluer le risque cardiovasculaire
- 3. Éduquer le patient
- 4. Les traitements pharmacologiques
- Les moyens non médicamenteux
- Les médicaments de l’hypotension orthostatique
- 1. Les agonistes des récepteurs α-adrénergiques
- 2. Les sympathomimétiques indirects
- 3. Les médicaments agissant sur la volémie
- 4. Les médicaments des ganglions végétatifs : les anticholinestérasiques
L’hypotension orthostatique (Ho) constitue une anomalie fréquente de l’adaptation posturale de la pression artérielle. Elle se définit comme une chute d’au moins 20 mmHg de la pression artérielle systolique et/ou de 10 mmHg de la pression artérielle diastolique dans les 3 minutes suivant le début d’un stress orthostatique [1]. Parmi les multiples causes de l’Ho, celles comportant une dysfonction de l’activité du système nerveux autonome primitive ou secondaire conduisent à des Ho neurogènes (HoN) d’évolution chronique et posant des difficultés de prise en charge.
Pourquoi faut-il traiter l’hypotension orthostatique ?
1. En raison de la morbimortalité qui lui est associée
Outre la morbidité liée aux chutes ou aux syncopes, l’Ho constitue un facteur de risque de maladies cérébro- et cardiovasculaires mais aussi de mortalité toutes causes. Récemment, l’étude ROTTERDAM a retrouvé un risque accru de morbidité et de mortalité[...]
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