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Dossier : L’intelligence artificielle
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Quoi ? Encore des articles consacrés à l’intelligence artificielle (IA) ! Et on pressent qu’il y en aura pléthore sur tous les supports possibles dans les mois et années à venir. Encore un effet de mode ?

Non, ce n’est pas une mode. Oui, l’IA est l’outil d’une évolution profonde de notre société et de la pratique de la médecine à moyen, voire à court terme. Pourquoi ?

Dossier : Prix Nobel
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Pour beaucoup, le prix Nobel de physique de 2024 a été doublement surprenant. D’une part, il a récompensé des travaux concernant l’intelligence artificielle (IA), domaine que l’on pourrait croire éloigné de la physique fondamentale, d’autre part, il a été décerné à des chercheurs dont les travaux majeurs dans le domaine ont été publiés dans les années 1980 et qui ne faisaient pas partie des favoris : John Hopfield (91 ans, Américain) et Geoffrey Hinton (76 ans, Britano-canadien). Leurs travaux ont conduit à une évolution majeure de l’apprentissage des machines numériques et au développement des réseaux de neurones artificiels.

Dossier : Prix Nobel
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En 2024, les trois prix Nobel scientifiques ont concerné des avancées ayant des implications potentiellement majeures en médecine.
Le 7 octobre, le prix Nobel de physiologie et de médecine a couronné deux chercheurs à l’origine de la découverte des microARN. Le prix Nobel de chimie a été décerné le 9 octobre à trois chercheurs œuvrant sur la structure des protéines. Et, d’une façon qui peut paraître surprenante, le prix Nobel de physique a été remis le 8 octobre à des travaux portant sur l’intelligence artificielle.

Dossier : Scanner et IRM en cardiologie
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Dans les recommandations, il existe deux grandes stratégies diagnostiques possibles permettant d’établir le diagnostic d’ischémie sur maladie coronaire stable afin d’orienter le traitement médical et l’éventuelle revascularisation :
– soit la réalisation d’une coronarographie visualisant la présence et la répartition de la coronaropathie, étayée par une évaluation de la réserve de flux fractionnaire (FFR) afin de guider la nécessité d’une revascularisation ultérieure ;
– soit l’utilisation d’un test de stress fonctionnel non invasif, suivi d’une coronarographie pour revasculariser les patients avec un test d’ischémie positif.
Dans ce contexte, l’IRM cardiaque de stress apparaît depuis plusieurs années comme l’un des tests de stress fonctionnel les plus performants avec une excellente corrélation avec la FFR dans l’évaluation de la sévérité d’une lésion coronaire, et ce de façon supérieure aux autres tests d’ischémie (scintigraphie et échocardiographie d’effort).

Dossier : Scanner et IRM en cardiologie
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Le scanner et l’IRM cardiaque prennent une place grandissante dans la pratique de la cardiologie hospitalière ou de ville. Les recommandations des sociétés savantes, notamment des sociétés française et européenne de cardiologie, réservent un rôle primordial à ces deux modalités d’imagerie, non seulement pour l’exploration des pathologies ischémiques chroniques ou aiguës, mais aussi pour de nombreuses pathologies cardiovasculaires structurelles.

Dossier : Accidents vasculaires cérébraux
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Les AVC ischémiques sont les conséquences de pathologies CV diverses. L’enjeu du diagnostic étiologique d’un AVC ou d’un AIT est majeur, car c’est de ce dernier que dépendent les mesures de prévention secondaires et donc la réduction de la morbi-mortalité. C’est lors de la réalisation du bilan étiologique que la collaboration cardiologue/neurologue prend toute son importance. L’identification d’une cause cardio-embolique implique un changement majeur de prise en charge avec l’indication à une anticoagulation curative (par AVK ou AOD) qui s’est montrée supérieure à l’aspirine pour diminuer les risques d’AVC cardio-emboliques sur FA (diminution du risque relatif de 68 % avec AVK vs 21 % avec aspirine) [1-2]. Nous détaillerons ici les principales causes d’AVC ischémiques ainsi
que le bilan préconisé en première ligne, avant de s’intéresser au bilan de seconde ligne pour les
sujets jeunes. Nous terminerons par un aparté sur le foramen ovale perméable.

Dossier : Accidents vasculaires cérébraux
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L’épidémiologie des accidents vasculaires cérébraux (AVC) a pu progresser de façon spectaculaire au cours des dernières années grâce au développement de registres de population, d’une part. Ces registres ont permis une meilleure approche de l’incidence de cette pathologie à travers le monde. D’autre part, les études épidémiologiques de grandes cohortes ont permis d’identifier les facteurs de risque de survenue d’un AVC [1, 2].

Dossier : Accidents vasculaires cérébraux
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L’accident vasculaire cérébral (AVC) constitue un problème de santé publique majeur avec 116 000 nouveaux cas par an en France et 15 millions par an dans le monde. Ce chiffre risque de doubler d’ici 2050. 20 % des Français risquent d’être victimes d’un AVC durant leur vie. L’AVC devient la première cause de mortalité chez la femme et constitue la première cause de handicap chez l’adulte (moteur, sensoriel et cognitif).