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Dossier : Scanner et IRM en cardiologie
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Dans les recommandations, il existe deux grandes stratégies diagnostiques possibles permettant d’établir le diagnostic d’ischémie sur maladie coronaire stable afin d’orienter le traitement médical et l’éventuelle revascularisation :
– soit la réalisation d’une coronarographie visualisant la présence et la répartition de la coronaropathie, étayée par une évaluation de la réserve de flux fractionnaire (FFR) afin de guider la nécessité d’une revascularisation ultérieure ;
– soit l’utilisation d’un test de stress fonctionnel non invasif, suivi d’une coronarographie pour revasculariser les patients avec un test d’ischémie positif.
Dans ce contexte, l’IRM cardiaque de stress apparaît depuis plusieurs années comme l’un des tests de stress fonctionnel les plus performants avec une excellente corrélation avec la FFR dans l’évaluation de la sévérité d’une lésion coronaire, et ce de façon supérieure aux autres tests d’ischémie (scintigraphie et échocardiographie d’effort).

Dossier : Scanner et IRM en cardiologie
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Le scanner et l’IRM cardiaque prennent une place grandissante dans la pratique de la cardiologie hospitalière ou de ville. Les recommandations des sociétés savantes, notamment des sociétés française et européenne de cardiologie, réservent un rôle primordial à ces deux modalités d’imagerie, non seulement pour l’exploration des pathologies ischémiques chroniques ou aiguës, mais aussi pour de nombreuses pathologies cardiovasculaires structurelles.

Dossier : Accidents vasculaires cérébraux
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Les AVC ischémiques sont les conséquences de pathologies CV diverses. L’enjeu du diagnostic étiologique d’un AVC ou d’un AIT est majeur, car c’est de ce dernier que dépendent les mesures de prévention secondaires et donc la réduction de la morbi-mortalité. C’est lors de la réalisation du bilan étiologique que la collaboration cardiologue/neurologue prend toute son importance. L’identification d’une cause cardio-embolique implique un changement majeur de prise en charge avec l’indication à une anticoagulation curative (par AVK ou AOD) qui s’est montrée supérieure à l’aspirine pour diminuer les risques d’AVC cardio-emboliques sur FA (diminution du risque relatif de 68 % avec AVK vs 21 % avec aspirine) [1-2]. Nous détaillerons ici les principales causes d’AVC ischémiques ainsi
que le bilan préconisé en première ligne, avant de s’intéresser au bilan de seconde ligne pour les
sujets jeunes. Nous terminerons par un aparté sur le foramen ovale perméable.

Dossier : Accidents vasculaires cérébraux
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L’épidémiologie des accidents vasculaires cérébraux (AVC) a pu progresser de façon spectaculaire au cours des dernières années grâce au développement de registres de population, d’une part. Ces registres ont permis une meilleure approche de l’incidence de cette pathologie à travers le monde. D’autre part, les études épidémiologiques de grandes cohortes ont permis d’identifier les facteurs de risque de survenue d’un AVC [1, 2].

Dossier : Accidents vasculaires cérébraux
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L’accident vasculaire cérébral (AVC) constitue un problème de santé publique majeur avec 116 000 nouveaux cas par an en France et 15 millions par an dans le monde. Ce chiffre risque de doubler d’ici 2050. 20 % des Français risquent d’être victimes d’un AVC durant leur vie. L’AVC devient la première cause de mortalité chez la femme et constitue la première cause de handicap chez l’adulte (moteur, sensoriel et cognitif).

Dossier : Congrès de l’AHA - Novembre 2022
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Au terme de plus de 70 ans d’études épidémiologiques d’observation et de 60 ans d’essais thérapeutiques contrôlés (ETC) ayant évalué la relation entre paramètres lipidiques plasmatiques, leur variation pharmacologique et le pronostic cardiovasculaire (CV) considéré en matière de risque d’événements athérothrombotiques tels les infarctus du myocarde (IDM) et les AVC, plusieurs conclusions peuvent être formulées (…)

Dossier : Congrès de l’AHA - Novembre 2022
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Elles ont été marquées par plusieurs nouveautés mais la première sur laquelle je souhaite insister est la participation française qui est devenue extrêmement faible et je ne parle pas là des conférenciers. Certes, deux des études majeures parmi celles présentées, les études STRONG-HF et PROMINENT, avaient été élaborées par des Français, mais le problème posé est celui de l’auditoire qui ne représente pas plus de trois dizaines de cardiologues français.