
20 ans, l’âge du coeur
Lors d’un congrès, j’ai eu la chance de pouvoir discuter avec le Pr Iradj Gandjbakhch, autour d’un petit déjeuner, sous le soleil tunisien. Langueur printanière aidant, entre les dattes et les abricots, nous avons parlé de ce qui avait constitué les progrès importants de la cardiologie lors des dernières décennies. Quelle ne fut pas ma surprise d’entendre le Pr Gandjbakhch dire qu’“en cardiologie, depuis une quarantaine d’années, s’il y a des progrès, ceux-ci constituent des avancées utiles, mais non des ruptures, c’est-à-dire que ces progrès ne sont plus des évolutions majeures.