- Pourquoi ne faut-il pas manquer le diagnostic d’hyperaldostéronisme primaire ?
- 1. Une maladie fréquente : 6 à 10 % des hypertendus
- 2. Une maladie rarement diagnostiquée
- 3. Une maladie majorant le risque CV
- 4. Une maladie nécessitant des traitements spécifiques qui améliorent le pronostic
- Comment ne pas manquer le diagnostic d’hyperaldostéronisme primaire ?
- 1. En cas d’HTA résistante
- 2. En cas d’HTA du sujet jeune
- 3. En cas d’HTA associée à une hypokaliémie spontanée ou sous diurétique
- 4. En cas d’HTA associée à un retentissement disproportionné sur les organes cibles
- 5. En cas d’HTA et incidentalome surrénalien
- 6. En cas d’HTA sévère
- Comment réaliser le diagnostic ?
L’hyperaldostéronisme primaire (HAP) est la première cause d’HTA secondaire. Cette pathologie concerne quasiment un patient hypertendu sur dix. Elle est responsable d’un surrisque CV, s’améliorant pourtant avec des traitements spécifiques.
Il s’agit d’une sécrétion anormale et élevée d’aldostérone originaire d’une ou des glandes surrénales. Cette sécrétion n’est pas médiée par la rénine. Les taux d’aldostérone sont donc disproportionnés par rapport aux taux de rénine.
Cette pathologie occupe une place mineure dans l’enseignement de la cardiologie, ce qui est discordant avec son impact en santé publique, tant par sa prévalence que par son retentissement CV.
L’objectif de cet article est de mettre en évidence l’intérêt de la recherche d’un HAP et les conditions qui doivent mener à son diagnostic.
Pourquoi ne faut-il pas manquer le diagnostic d’hyperaldostéronisme primaire ?
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