Comment ne pas manquer un hyperaldostéronisme primaire ?

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L’hyperaldostéronisme primaire (HAP) est la première cause d’HTA secondaire. Cette pathologie concerne quasiment un patient hypertendu sur dix. Elle est responsable d’un surrisque CV, s’améliorant pourtant avec des traitements spécifiques.

Il s’agit d’une sécrétion anormale et élevée d’aldostérone originaire d’une ou des glandes surrénales. Cette sécrétion n’est pas médiée par la rénine. Les taux d’aldostérone sont donc disproportionnés par rapport aux taux de rénine.

Cette pathologie occupe une place mineure dans l’enseignement de la cardiologie, ce qui est discordant avec son impact en santé publique, tant par sa prévalence que par son retentissement CV.

L’objectif de cet article est de mettre en évidence l’intérêt de la recherche d’un HAP et les conditions qui doivent mener à son diagnostic.

Pourquoi ne faut-il pas manquer le diagnostic d’hyperaldostéronisme primaire ?

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À propos des auteurs

Centre d’excellence en Hypertension artérielle (CEDHA), service de Cardiologie, hôpital St André, BORDEAUX.

Service d’Endocrinologie Hôpital Haut Lévèque, CHU de BORDEAUX.

Centre d’excellence en Hypertension artérielle (CEDHA), service de Cardiologie, hôpital St André, BORDEAUX. Bureau de la SFHTA, INSERM unité 1034, réseau INI-CRCT.