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Diabète et Métabolisme
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Le diabète de type 2 comprend deux composantes physiopathologiques – une insulinorésistance et un déficit sécrétoire en insuline – dont le rôle respectif est variable chez chaque patient.
L’arsenal thérapeutique à notre disposition comprend des “armes” visant l’insulinorésistance (réduction pondérale, activité physique, metformine…) et d’autres destinées à traiter le déficit sécrétoire en insuline (glinides, sulfamides hypoglycémiants, inhibiteurs DPP-4, agonistes GLP-1). D’une façon générale, la stratégie thérapeutique sera dictée par le profil physiopathologique du diabète de type 2 du patient.
Il est important, chez chaque patient, d’authentifier et de préciser l’importance de chacune des cibles thérapeutiques afin de conduire un traitement optimal.

Histoire et Philo
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Né en 1879, en Georgie d’une famille pauvre, marqué par le décès de son père, Joseph Vissarionovitch Djougatchvili plus connu sous le nom de Staline (l’homme d’acier en russe) n’a que 11 ans lorsqu’il est placé au séminaire par sa mère

Valeurs à la Une
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Bureau Veritas est le n°2 mondial des prestations d’évaluation de conformité et de certification appliquées aux domaines de la qualité, de la sécurité, de la santé, de l’environnement et de la responsabilité sociale. L’activité du groupe consiste à inspecter, à analyser, à auditer et à certifier des produits, des actifs (bâtiments, infrastructures industrielles, équipements, navires, etc.) et des systèmes de gestion (notamment normes ISO) par rapport à des référentiels réglementaires ou volontaires.

Cours de rythmologie
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Le flutter atrial commun est en rapport avec une macro-réentrée située dans l’oreillette droite, avec un passage obligé par l’isthme cavo-tricuspide. Cette zone, située entre la valve tricuspide et l’abouchement de la veine cave inferieure, est une zone de conduction lente nécessaire à l’organisation du circuit. Les traitements antiarythmiques ayant une efficacité limitée, la prise en charge du flutter atrial commun, isthme-dépendant, a largement bénéficié de l’avènement de l’ablation par radiofréquence.

Billet du mois
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“Être démocrate, ce serait agir en reconnaissant que nous ne vivons jamais dans une société assez démocratique.” – Jacques Derrida

Vasculaire
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Les lésions dermatologiques du syndrome des antiphospholipides (SAPL) sont fréquentes et parfois inaugurales. Elles sont diverses dans leur expression clinique, allant de manifestations très discrètes – souvent non remarquées et non diagnostiquées – à des lésions sévères, pouvant mettre en jeu le pronostic vital telles que les nécroses cutanées extensives ou les gangrènes distales. Le livedo est la lésion dermatologique la plus fréquente, marqueur du phénotype artériel du syndrome.
Des lésions cutanées sont observées dans la moitié des cas de syndrome catastrophique des antiphospholipides, heureusement rare (1 %), caractérisé par la survenue en moins d’une semaine de l’atteinte de 3 organes ou tissus avec thromboses de la microcirculation. Les phlébites superficielles ont été exclues des critères de classification du SAPL où seuls les taux moyens ou élevés des taux d’anticorps anticardiolipine et d’anticorps anti-β2 glycoprotéine 1 sont pris en considération s’ils sont présents à 12 semaines d’intervalle.
Les prises en charge curative et préventive des lésions dermatologiques du SAPL dépendent de leur gravité et de la présence d’autres manifestations du SAPL.

Dermatologie
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Les complications cutanéo-muqueuses des nouveaux traitements anticancéreux “ciblés” sont nombreuses et fréquentes, et leur prévalence va encore s’accentuer en raison du développement rapide de nouvelles molécules utilisées de plus en plus tôt dans la maladie. Elles demandent une prise en charge collaborative très précise avec parfois une limitation de l’emploi de la ou des molécule(s) en cause, ce qui peut entraîner une perte d’efficacité non négligeable. Leur connaissance est donc importante afin de pouvoir les dépister le plus précocement possible et éventuellement de prévenir leur apparition, ou encore d’éviter l’arrêt intempestif du traitement grâce à une prise en charge adaptée, parfois bien standardisée.
Ces effets indésirables sont polymorphes et portent notamment sur les follicules pileux, les phanères et plus généralement sur la différenciation des kératinocytes avec parfois apparition paradoxale de tumeurs cutanées épithéliales. Ils peuvent entraîner une détérioration importante de la qualité de vie, notamment en ce qui concerne les agents anti-récepteurs de l’EGF très utilisés actuellement. Dans certains cas, leur apparition et leur intensité sont corrélées à la réponse tumorale.

Imagerie
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La réalisation d’une coronarographie diagnostique implique une succession de gestes simples mais nécessaires, d’une part pour éviter les complications de cet examen invasif et, d’autre part, pour obtenir toutes les informations souhaitées. Un de ces gestes simples, mais impératifs, est l’injection de vasodilatateurs intracoronaires, ce qui permet :
– de supprimer soit le spasme diffus souvent présent et dû au tonus adrénergique provoqué par le stress de l’examen, soit un spasme focal pouvant être pris à tort pour une sténose, y compris les spasmes “iatrogènes” provoqués par les cathéters diagnostiques ;
– mais aussi de mieux apprécier le degré et le caractère plus ou moins dynamique des lésions sténosantes ;
– et enfin, de mesurer correctement le diamètre des segments qu’on va éventuellement traiter par angioplastie.

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