Efficacité et sécurité des HBPM versus héparine non fractionnée après implantation de prothèse valvulaire
Les HBPM après chirurgie valvulaire sont sûrs et efficaces
Les HBPM après chirurgie valvulaire sont sûrs et efficaces
La réouverture de l’artère responsable chroniquement occluse n’améliore pas le remodelage, que la zone en regard soit viable ou non
L’ivabradine peut renverser le cours de l’évolution du remodelage VG chez les insuffisants cardiaques ischémiques
Le sus-décalage de ST en aVR ≥ 1 mm sur l’ECG initial suggère fortement une atteinte tritronculaire et/ou du tronc commun
La réparation percutanée de l’IM est moins efficace que la chirurgie, mais elle est plus sûre
La fréquence du glaucome est estimée être de 1 à 2 % d’une population générale adulte ; celle de l’hypertension oculaire (HTO : PIO ≤ 21 mmHg) se situe entre 7 et 12 %. Cette deuxième estimation mérite peut-être d’être réévaluée avec la généralisation de la mesure de l’épaisseur de la cornée centrale (ECC) dont on sait que, forte, elle surévalue la valeur de la PIO. En contrepartie, les cornées qui sont minces peuvent faire sous-estimer la réalité de l’HTO. Les tonomètres type Pascal ou surtout ORA, minimisant ce biais majeur, sont peu répandus. Un diagnostic d’HTO ne doit donc plus être porté actuellement tant que la valeur mesurée de la PIO n’est pas confrontée à celle de l’ECC, du moins avec les tonomètres conventionnels.
Parmi l’ensemble des facteurs de risques (FR) du glaucome, la myopie forte occupe une place particulière au sein des facteurs de risques oculaires, à l’origine de particularités cliniques et physiopathologiques qui expliquent les difficultés du diagnostic et du suivi du glaucome chez le sujet myope.
La myopie forte (0,5 à 2 % de la population), regroupe les myopies réfractives > -6 dioptries ainsi que les myopies axiles biométriques caractérisées par une longueur axiale du globe oculaire > 26 mm. La fréquence de la neuropathie optique glaucomateuse (NOG) est plus importante au sein de la population des sujets myopes, avec un risque de glaucome chez le myope fort globalement multiplié par 3,3 chez les sujets caucasiens
Le risque de glaucome est donc plus élevé chez le sujet myope (1 sujet sur 35), globalement corrélé au degré de la myopie (15 à 25 % d’hypertonies oculaires et de glaucomes pour une longueur axiale supérieure à 26 mm).
Le Comité de nutrition de la Société française de pédiatrie et la Nouvelle société française d’athérosclérose ont élaboré conjointement des recommandations pour le dépistage et la prise en charge des hypercholestérolémies primitives de l’enfant.
Cet article reprend les points principaux de ces recommandations qui précisent les éléments du diagnostic des hypercholestérolémies héréditaires à risque élevé, les modalités de leur dépistage, les principes et les modalités du traitement diététique ainsi que les indications et la surveillance du traitement médicamenteux.
L’American College of Physicians (ACP) vient de proposer des recommandations pour la prise en charge de l’hyperglycémie chez des patients hospitalisés, qu’ils soient diabétiques ou non. Leur grand principe est de ne pas proposer de traitement par insuline si la glycémie est inférieure à 2 g/L.
Le dossier “Cœur et chirurgie générale” de ce numéro de Réalités Cardiologiques comprend trois articles dédiés à la prise en charge des cardiopathies chez les patients devant subir une chirurgie non cardiaque. Cette thématique suscite un intérêt particulier par sa fréquence et par le fait qu’elle a fait l’objet de recommandations récentes de la Société Européenne de Cardiologie [1] puis de recommandations conjointes de la Société Française d’Anesthésie-Réanimation et de la Société Française de Cardiologie [2], qui sont concordantes sur la plupart des thèmes abordés.