Traitement endovasculaire des AVC ischémiques aigus
Absence de supériorité par rapport au t-PA
Absence de supériorité par rapport au t-PA
Pas de réduction du risque de récidive embolique ou de décès
Pas de bénéfice
Effet bénéfique des régimes méditéranéens
Réduction du taux d’événements ischémiques dont les thromboses de stent, sans augmentation des saignements sévères
La fibrinolyse préhospitalière améliore la reperfusion des patients ne pouvant avoir une angioplastie dans l’heure suivant le premier contact médical
Les sociétés à l’IS (impôt sur les sociétés) disposent souvent de disponibilités, mais bien peu rémunérées ! Quel dommage, quand il est possible de mieux les rentabiliser. Les sociétés civiles à l’impôt sur le revenu peuvent également disposer de capitaux à placer, notamment suite à la vente d’un bien immobilier. Là aussi, comment bien placer ces capitaux est la bonne question à se poser.
L’OACR est une pathologie rare en pratique courante. Son incidence est de 1/10 000/an. Cependant, elle nécessite une prise en charge urgente, compte tenu du risque vital lié à une étiologie embolique, du risque de bilatéralisation lié à une étiologie artéritique, et enfin de la très courte fenêtre thérapeutique.
En 2013, le dépistage de la rétinopathie diabétique (RD) est fondé sur la rétinophotographie non mydriatique autant que sur l’examen systématique du fond d’œil. Ces méthodes peuvent aussi montrer un œdème maculaire (OM) focal entouré d’exsudat. Associées à la mesure de l’acuité visuelle (AV), elles peuvent aussi dépister un œdème maculaire provoquant une baisse d’acuité visuelle. Si le dépistage donne une indication sur la possibilité d’une des complications, un examen par un ophtalmologiste est nécessaire pour réaliser les examens complémentaires nécessaires incluant un OCT et, dans certains cas, une angiographie pour confirmer le diagnostic et poser l’indication du traitement.
Tandis que les algorithmes sophistiqués pour la prise en charge des œdèmes maculaires (OM) des occlusions de branche veineuse (OBVR) ne manquent pas, en pratique clinique la décision est prise beaucoup plus simplement. Il n’y a aujourd’hui que 3 alternatives thérapeutiques : observation, laser et injections intravitréennes (tableau I).