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Rhumatologie
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Comprendre et connaître l’épidémiologie de la DMLA fait partie intégrante de la prise en charge des patients présentant une DMLA. Cela permet de mieux comprendre les facteurs de risques environnementaux et génétiques afin de développer des stratégies thérapeutiques préventives mais aussi curatives.
Axées au départ sur les populations des pays développés, les connaissances épidémiologiques de la maladie dans d’autres populations, en particulier les populations asiatiques, sont particulièrement utiles pour mieux appréhender certains facteurs de risques.
En France, les données épidémiologiques sont comparables à celles des autres pays développés. En se basant sur des projections statistiques, il est raisonnable de penser que le nombre de cas de DMLA va doubler d’ici 30 ans.

Rhumatologie
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La spondylarthrite (SpA) est une maladie multifactorielle complexe possédant une forte composante héréditaire, reflet d’un terrain génétique prédisposant. Le facteur majeur de susceptibilité à la maladie est l’antigène HLA-B27 qui explique, à lui seul, environ un tiers de la prédisposition génétique totale. Plus de 20 autres locus de susceptibilité ont été identifiés ces dernières années comme les gènes IL23R ou ERAP1. Ces découvertes ont permis d’identifier ou de confirmer de nouvelles voies physiopathologiques en cause dans la maladie. Elles ont également souligné la proximité entre la SpA et d’autres maladies comme la maladie de Crohn. Toutefois, l’ensemble de ces nouveaux gènes n’explique qu’une faible proportion de la prédisposition à la maladie et de nombreux autres gènes restent encore à identifier.

Gynécologie
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L’année en contraception a été marquée par la controverse autour des contraceptifs oraux combinés (COC) et du risque vasculaire associé. Nous consacrerons donc la plus grande partie de cette mise au point à comprendre le rationnel, les incertitudes et les conséquences de cette polémique.

Echocardiographie
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L’année 2013 a de nouveau été marquée par de nombreuses publications intéressantes dans le domaine de l’échocardiographie, notamment dans certaines thématiques comme l’évaluation du ventricule droit, les valvulopathies mitrales ou aortiques ou le 2D strain toujours à l’origine de nombreuses études.

L’Année cardiologique 2013
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L’année 2012 a été l’occasion de fêter à Rouen, entourés de plus de 600 invités venant de 50 pays (fig. 1), le 10e anniversaire de la première implantation de valve aortique percutanée réalisée le 16 avril 2002 au CHU de Rouen par Alain Cribier [1]. Cette innovation médicale majeure [2, 3] se voit consacrée en 2012 par la publication des Recommandations Européennes [4], l’accord de la Food and Drug Administration (FDA) pour l’utilisation de la valve Edwards Sapien chez les patients non seulement inopérables mais également à haut risque chirurgical, et la publication des résultats français du registre FRANCE 2 dans la prestigieuse revue du New England Journal of Medicine [5].

L’Année cardiologique 2013
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L’année 2012 en rythmologie et stimulation a été indéniablement marquée par la mise à jour des recommandations sur la prise en charge de la fibrillation atriale (FA) et par la mise sur le marché des nouveaux anticoagulants (NACO). Néanmoins, d’autres sujets seront évoqués au cours de ce résumé inévitablement incomplet des temps forts de l’année 2012.

Insuffisance coronaire
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Dans le domaine de l’angor stable, l’année 2012 a été dominée par deux grandes études :
– l’une, FREEDOM [1], a confirmé largement la supériorité de la chirurgie par rapport à l’angioplastie chez les diabétiques multitronculaires ;

Insuffisance cardiaque
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L’insuffisance cardiaque aiguë, bien qu’elle soit un problème majeur de Santé publique, est l’oubliée des dernières recommandations de l’ESC, en l’absence de progrès récents. Or l’année 2012 a été riche de renseignements et d’espoirs, concernant notamment les hospitalisations pour insuffisance cardiaque qui, du fait du mauvais pronostic des décompensations cardiaques qui en sont à l’origine, de leur fréquence élevée et de leur caractère itératif, sont à l’origine d’un double défi. Pour nous médecins, il convient de tout faire pour éviter les poussées d’insuffisance cardiaque aiguë dont la mortalité hospitalière est devenue supérieure à celle de l’infarctus du myocarde, 8 % dans le registre français OFICA. Pour la société, il faut diminuer la fréquence des hospitalisations pour insuffisance cardiaque qui sont d’un poids économique élevé, étant responsables de 70 % des coûts de santé générés par cette maladie.

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