ISAR-REACT 4: Abciximab et héparine versus bivalirudine dans les IDM aigus sans sus décalage de ST
Abciximab et héparine versus bivalirudine dans l’IDM aigu : c’est mieux pour la bivalirudine
Abciximab et héparine versus bivalirudine dans l’IDM aigu : c’est mieux pour la bivalirudine
IEC pendant la grossesse et malformations cardiaques : la fin d’une légende
L’étude ATLAS TIMI-51 est un essai contrôlé, randomisé, contre placebo, en double-aveugle et multicentrique ayant inclus 15 526 patients, dont le but est d’évaluer l’apport du rivaroxaban, un anti-Xa administré par voie orale, en complément du traitement conventionnel chez les patients présentant un syndrome coronarien aigu.
Cette étude démontre une réduction significative du taux de MACE chez les patients recevant le rivaroxaban à la dose de 2,5 mg x 2/j ou de 5 mg x 2/j (2 groupes traités, un groupe placebo sans cross-over entre les groupes) en comparaison avec le groupe placebo au prix d’un surrisque hémorragique proportionnel à la posologie utilisée, sans augmentation significative du taux d’hémorragies fatales.
La place du rivaroxaban au sein de notre arsenal thérapeutique reste toutefois à préciser à l’heure du développement de nouveaux antiagrégants plaquettaires toujours plus puissants, associés eux aussi à un excès d’hémorragies.
C’est avec la phrase “les enfants, vous reprendrez bien un peu de céréales dans votre sucre ?” que le New York Times du 8 décembre 2011 a titré un report qu’il faisait d’une étude conduite par un groupe de défense de la consommation aux Etats-Unis.
Rhumatisme à pyrophosphate de calcium
Les années précédentes, la part belle avait été faite à la goutte. Cette année, c’est la “chondrocalcinose” qui est à l’honneur. Plus exactement, les manifestations ostéo-articulaires associées aux dépôts de cristaux de pyrophosphate de calcium (PPC). Le mot “dihydraté” disparaît dans la nouvelle terminologie proposée par le groupe de travail de l’EULAR [1, 2].
Le diabète gestationnel : une définition, deux entités
Le diabète gestationnel (DG) est défini comme un trouble de la tolérance au glucose de sévérité variable, débutant ou diagnostiqué pour la première fois pendant la grossesse, quels que soient le traitement nécessaire et l’évolution dans le post-partum.
Un angiœdème (AO) est défini cliniquement par un gonflement localisé, de début brutal, des tissus sous-cutanés ou sous-muqueux. L’AO, non érythémateux, est le plus souvent de localisation hypodermique. Les symptômes associés sont une sensation de tiraillement ou de tension, mais habituellement pas de prurit.
La syncope est un symptôme fréquent puisque l’on estime qu’une personne sur deux en fera au moins une pendant sa vie. Si une syncope peut survenir à tout âge, les études épidémiologiques ont bien montré qu’il existait deux périodes de l’existence particulièrement “favorables” à la survenue de la première syncope : entre 15 et 25 ans, puis au-delà de 60 ans.
Dans le cadre des journées de l’ESC de septembre dernier, un symposium satellite a rassemblé de nombreux cardiologues autour d’intervenants de renom sur le thème des nouvelles avancées thérapeutiques dans la réduction du risque cardiovasculaire chez les patients à haut risque.
Les cryoglobulinémies sont à l’origine de vascularites cryoglobulinémiques avec atteinte des vaisseaux de petits et moyens calibres. Il s’agit d’une immunoglobuline de caractère monoclonal ou polyclonal précipitant à basse température et se dissolvant lors du réchauffement.