- Mécanisme de l’IT
- Étiologie de l’IT
- 1. Les fuites secondaires
- 2. Les fuites primitives
- 3. Est-il toujours simple de distinguer une fuite primitive d’une fuite secondaire ?
- En pratique
- 1. La sévérité ou comment quantifier une IT ?
- 2. La chirurgie tricuspide dans le cadre d’une valvulopathie gauche chirurgicale avec remodelage des cavités droites
- 3. Les symptômes objectifs d’insuffisance cardiaque droite
- 4. Dilatation/dysfonction ventriculaire droite
- 5. La dilatation annulaire
- Recommandations pour la prise en charge chirurgicale d’une IT
- Conclusion
La recherche d’une régurgitation tricuspide fait partie de tout examen échocardiographique et on ne peut plus dire aujourd’hui que cette valve est une “valve oubliée”. Pour autant, elle reste mal connue, difficile à étudier, car son analyse est moins bien codifiée que celle de sa voisine de gauche, la valve mitrale.
L’analyse anatomique et fonctionnelle de la valve tricuspide va utiliser l’échographie pour déterminer le mécanisme et l’étiologie de l’insuffisance tricuspide (IT).
Mécanisme de l’IT
On décrit le mécanisme de l’IT en utilisant la même approche que pour la mitrale en 3 types :
- type 1 : mouvements normaux ;
- type 2 : mouvements excessifs ;
- type 3 : restriction des mouvements.
Étiologie de l’IT
Les IT peuvent être primitives ou secondaires.
1. Les fuites secondaires
Les fuites secondaires sont de loin les plus fréquentes (sans doute plus de 90 % des cas), en rapport avec une surcharge en volume ou en pression des cavités droites, avec ou sans dysfonction ventriculaire droite, le plus souvent secondaire à une cardiopathie gauche. Elles sont en rapport[...]
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