
Dysfonction de prothèse valvulaire : quelle imagerie utiliser ?
Malgré des avancées techniques significatives, les prothèses valvulaires restent associées à une morbidité significative avec de nombreuses complications potentielles. Si l’échocardiographie transthoracique constitue l’examen de première intention pour poser un diagnostic préliminaire, des techniques complémentaires comme l’échocardiographie transœsophagienne 3D, le scanner, ou l’IRM cardiaque fournissent des informations essentielles pour affiner le diagnostic et orienter la prise en charge des dysfonctions prothétiques.
Cet article, centré sur l’imagerie multimodale appliquée aux dysfonctions de prothèses valvulaires, explore les indications, avantages et limites des différentes modalités d’imagerie cardiovasculaire en cas d’élévation de gradient ou de régurgitation sur prothèse.