Repolarisation précoce dans la population générale
Une repolarisation précoce définie par un point J > 0,1…
Une repolarisation précoce définie par un point J > 0,1…
Pas de supériorité d’un traitement prolongé par apixaban par rapport à un traitement plus court par enoxaparine
Chez les patients symptomatiques à score calcique nul, un athérome obstructif est associé à plus d’événements cardiovasculaires
Score de risque simplifié et troponine T ultrasensible améliorent la stratification du risque de l’embolie pulmonaire aiguë
La stimulation gauche isolée n’est pas supérieure à la biventriculaire
Effets délétères de la dronédarone chez les patients en FA permanente à haut risque vasculaire
Chez les athéromateux à LDL < 0,7 g/L l’addition de niacine aux statines durant 36 mois n’améliore pas le bénéfice clinique
Une altération de la fonction rénale favorisée par le diabète de type 1 accroît le risque de maladie et de décès cardiovasculaires.
La prévalence de l’insuffisance mitrale et le nombre des sujets à haut risque chirurgical va augmenter dans l’avenir du fait de l’évolution démographique, et la nécessité de techniques alternatives à la chirurgie, moins invasives, va s’affirmer. Aujourd’hui, deux approches percutanées principales existent : la réparation mitrale bord à bord et l’annuloplastie par le sinus coronaire.
L’implantation valvulaire percutanée par voie transseptale ou transapicale permet la correction des dégénérescences fuyantes des bioprothèses et des annuloplasties mitrales. Par les mêmes voies, la correction percutanée de fuites paraprothétiques est également possible. D’autres traitements sont en cours de développement. L’aptitude à pouvoir les combiner sera probablement l’un des gages de leur succès futur.
L’indication à l’ablation de la FA symptomatique résistante au traitement antiarythmique est bien établie depuis près d’une décennie. Ces dernières années, plusieurs études ont évalué le risque d’accident cérébrovasculaire périprocédural et après arrêt de l’anticoagulation orale en cas de maintien en rythme sinusal par l’ablation.
Bien que certaines recommandations puissent être formulées à ce jour, la décision d’interrompre l’anticoagulation après ablation reste largement basée sur une appréciation individualisée par le praticien de la balance risque-bénéfice.