Risque d’embolie pulmonaire en cas de maladie auto-immune: Cohorte nationale suédoise
Pathologies auto-immunes : risque important d’embolie pulmonaire dans la première année suivant une hospitalisation
Pathologies auto-immunes : risque important d’embolie pulmonaire dans la première année suivant une hospitalisation
L’autocontrôle du traitement anticoagulant et son autogestion sont des options sures pour les patients de tous âges
Différences entre niveaux de facteurs de risque = différences franches sur le risque cardiovasculaire durant la vie et cela quels que soient les sous-groupes
Risque global faible d’arrêt cardiaque et de mort subite dans le cadre de marathons et de semi-marathons
Une FA asymptomatique est fréquemment associée à la survenue d’AVC ischémiques et d’embols systémiques
Efficacité du rivaroxaban avec augmentation des saignements sans aggravation du risque de saignement mortel
Efficacité moyenne, tolérance mauvaise
Définition de l’ostéopénie
L’ostéopénie se définit à partir de l’ostéodensitométrie et du T-score que cet examen permet d’établir. Le T-score, exprimé en déviations standard, consiste à comparer la densité minérale osseuse de votre malade à celle d’une jeune femme où la masse osseuse est maximum. Ceci au rachis, au col du fémur et à la hanche totale. On tient compte du site où la densité minérale osseuse (DMO) est la plus basse. La DMO est considérée comme normale lorsque le T-score est supérieur à -1, la malade est ostéopénique lorsque le T-score est compris entre -1 et -2,5 et ostéoporotique lorsque le T-score est inférieur à -2,5 [1].
La prise en charge non hormonale des symptômes du climatère comporte des mesures d’hygiène de vie, des traitements prescrits hors AMM et des mesures non médicamenteuses.
Les traitements prescrits hors AMM comportent essentiellement des inhibiteurs de la recapture de la sérotonine/noradrénaline et la gabapentine. Leur efficacité reste inférieure (50 à 60 % de réduction des bouffées de chaleur) à celle des estrogènes.
La tolérance peut être médiocre en début de traitement, les effets secondaires graves sont exceptionnels. Les interactions médicamenteuses, notamment avec le tamoxifène, doivent être soigneusement évaluées. Les autres techniques de prise en charge restent insuffisamment explorées. Les phyto-estrogènes n’ont pas d’efficacité démontrée et sont contre-indiqués en cas de cancer hormonodépendant. La prise en charge non hormonale des bouffées de chaleur trouve tout son intérêt en cas de contre-indication aux estrogènes. Dans les autres cas, une information précise de la patiente est nécessaire.
La grossesse est une période pendant laquelle une femme peut avoir besoin d’un traitement médicamenteux, que ce soit pour une affection aiguë ou chronique. D’une manière générale, la prescription chez une femme enceinte doit être limitée, et le traitement prescrit uniquement s’il s’avère nécessaire après évaluation du rapport bénéfice/risque. Tous les médicaments bénéficient d’une évaluation spécifique avant toute mise sur le marché, ce qui doit guider notre conduite de praticien. En revanche, en cas de pronostic vital pour la mère, cette dernière est prioritaire et doit donc bénéficier du traitement adéquat même si ce dernier peut avoir des effets tératogènes ou fœtotoxiques.