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Dermatologie
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Les histiocytoses langerhansiennes (HL) correspondent à une prolifération et une accumulation d’histiocytes langerhansiens dans les tissus. Il s’agit d’une maladie rare dont le mécanisme est incertain. Tous les organes peuvent être atteints, principalement l’os et la peau mais également le poumon. Le diagnostic repose sur la positivité des immunomarquages spécifiques (CD1a et CD207).
Le pronostic et le traitement dépendent du nombre et de la nature des organes envahis. Des recommandations pour la prise en charge ont été récemment publiées.

Rythmologie
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Les nouveaux anticoagulants (NACOs) ou anticoagulants directs, anti-IIa ou anti-Xa, remplacent progressivement les antivitamines K (AVK) dans une grande partie de leurs indications actuelles. Leur succès est en partie lié à leur meilleur profil de tolérance que les AVK.
Néanmoins, les complications hémorragiques majeures spontanées ne disparaissent pas car elles sont au mieux réduites de moitié. La prise en charge chirurgicale en urgence et des hémorragies graves chez des patients traités par NACOs nécessitent des mesures spécifiques et doivent être parfaitement codifiées.
Nous les rappelons ici en sachant qu’il s’agit au mieux d’un consensus d’experts et que des données prospectives sont indispensables.

Dermatologie
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Les manifestations pulmonaires des connectivites sont fréquentes mais sous diagnostiquées car le plus souvent méconnues pour la plupart d’entre elles. L’atteinte interstitielle est une de ces manifestations qui a la particularité d’aggraver le pronostic de la collagénose. Des investigations paracliniques, telles que les épreuves fonctionnelles respiratoires, le test de marche et le scanner thoracique haute résolution, sont utiles pour détecter une pneumopathie interstitielle diffuse à un stade suffisamment précoce pour qu’un traitement immunosuppresseur puisse être initié.
Cette revue précise les caractéristiques cliniques, paracliniques, scanographiques et anatomopathologiques des pneumopathies interstitielles diffuses en général puis, plus particulièrement, celles associées aux principales connectivites.

Dermatologie
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Dans cet article seront abordées, en première et deuxième parties, des situations dans lesquelles un médicament prescrit pour une affection pneumologique ou dermatologique pourra être responsable d’effets indésirables (EI), pour lesquels les avis respectifs du dermatologue ou du pneumologue pourront être sollicités.
La troisième partie de cet article sera consacrée à deux types de réactions médicamenteuses potentiellement sévères, touchant à la fois la peau et l’appareil respiratoire.
L’objectif n’est pas l’exhaustivité mais la sélection de situations fréquemment rencontrées en pratique courante dans les deux spécialités, avec une synthèse actualisée des éléments du diagnostic et de la prise en charge.

Histoire et Philo
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Henry Beyle, plus connu sous le nom de Stendhal, est né le 23 janvier 1783 à Grenoble d’un père avocat au parlement. A l’âge de 17 ans, il se rend en Italie, où il contracte le paludisme. Ce grand admirateur de Napoléon participe à la compagne de Russie et assiste à la Retraite de l’armée impériale en 1814. En 1816, Stendhal âgé de 33 ans souffre d’obésité (il pèse 94 kg et mesure 1,70m).

Infos Patrimoine
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Le placement en assurance-vie demeure encore un paradis fiscal. Il est en effet un excellent outil pour compléter ses revenus (très peu imposés) ou pour favoriser la transmission de son patrimoine, sans compter les petits plus apportés par la loi de finances pour 2014 ! Et, c’est sans parler des excellents supports que vous pouvez inclure dans cette enveloppe. Mais encore faut-il savoir s’en servir…

Rythmologie
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À l’instar du traitement antiagrégant plaquettaire dans le syndrome coronaire aigu (SCA), le traitement anticoagulant initie sa révolution dans la prévention des complications emboliques de la FA non valvulaire mais aussi dans la maladie thromboembolique veineuse (MTEV), avec également des données cliniques dans le post-SCA. Pendant plus de 60 ans, les AVK étaient les seuls anticoagulants oraux disponibles avec toutes les limites que véhicule ce type de produits : la nécessité d’un monitoring régulier (INR), la difficulté d’équilibration avec un temps à la cible thérapeutique (TTR) recommandé de plus de 65 % difficile à obtenir, une demi-vie longue, de nombreuses interactions médicamenteuses et alimentaires…

Rythmologie
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Les antagonistes de la vitamine K (AVK) sont efficaces dans la prévention des accidents vasculaires cérébraux (AVC) chez les patients en fibrillation atriale (FA) en comparaison au placebo (diminution de plus de la moitié des AVC) ou à l’aspirine.
Cependant, les accidents hémorragiques liés aux AVK sont la première cause de iatrogénie grave. Ils nécessitent une surveillance biologique rapprochée, parfois contraignante pour les patients, et présentent de nombreuses interactions médicamenteuses et alimentaires. Pour toutes ces raisons, ils sont souvent insuffisamment prescrits chez les patients éligibles.
Les nouveaux anticoagulants (NACOs) constituent une avancée thérapeutique majeure et une alternative aux AVK pour la prévention des accidents cérébraux cardio-emboliques dans la FA.

Rythmologie
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Les nouveaux anticoagulants oraux (NACOs) ou anticoagulants oraux directs représentés à ce jour par le dabigatran étexilate, le rivaroxaban et l’apixaban et bientôt par l’edoxaban ont, parmi leurs avantages, l’absence de nécessité d’une surveillance régulière de la coagulation. En effet, ils ont une fenêtre thérapeutique large à posologie fixe et leur efficacité et sécurité ont été démontrées dans de grands essais cliniques dans lesquels la mesure des paramètres de la coagulation n’a pas été prise en compte.
Néanmoins, les NACOs ont un retentissement sur les paramètres de la coagulation, différent de celui des antivitamines K (AVK) et différent également d’un NACO à l’autre. Au-delà de la compréhension théorique des modifications induites de la coagulation, la connaissance de ces modifications pourrait s’avérer importante dans certaines situations.

Rythmologie
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L’arrivée des nouveaux anticoagulants oraux (NACOs) a modifié la prise en charge des patients dans la fibrillation auriculaire (FA) non valvulaire.
Les études ont montré la non infériorité des NACOs et un taux inférieur d’hémorragie intracrânienne comparativement à la warfarine [1-3]. L’apixaban est même supérieur aux AVK concernant l’incidence du premier épisode d’embolie, le taux d’hémorragie grave et même la mortalité toute cause [3].
Les AVK sont utilisés de longue date, cependant seulement 1 patient sur 2 ayant une indication à une anticoagulation efficace est traité [4]. En effet, les AVK représentent la première cause iatrogène d’hospitalisation ; ils augmentent le risque d’AVC hémorragique et provoquent 4 000 à 6 000 décès par an liés à des accidents hémorragiques.
Les NACOs semblent donc être une alternative thérapeutique intéressante.

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