Hypertension artérielle d’effort et pronostic cardiovasculaires chez les asymptomatiques
L’HTA d’effort est associée à un risque supérieur de décès cardiovasculaire
L’HTA d’effort est associée à un risque supérieur de décès cardiovasculaire
Pensez à sourire
La TA était contrôlée chez 50,1 % des hypertendus
Un traitement bêtabloquant réduit le risque de poussée de BPCO et la mortalité
Pas d’effet délétère
Les biothérapies ont révolutionné la prise en charge de la polyarthrite rhumatoïde, mais les premiers résultats des études évaluant ces biothérapies dans le lupus érythémateux systémique sont plutôt décevants. Le rituximab et l’abatacept n’ont pas démontré leur efficacité dans des études randomisées. Le rituximab fait malgré tout l’objet d’un protocole thérapeutique temporaire renouvelé en juillet 2010. Le belimumab est la première biothérapie ayant démontré sa supériorité par rapport au placebo chez les patients atteints de lupus érythémateux systémique sans atteinte rénale. Des résultats sont attendus pour l’atacicept. Les anti-TNF et le tocilizumab pourraient apporter un bénéfice chez certains patients lupiques. D’autres molécules candidates vont être évaluées dans les années à venir : anti-interféron-α et anti-interféron-γ, anti-CD28, anti-IL10 et monoclonaux dirigés contre le complexe d’attaque membranaire.
Baisse des facteurs de risque, observance thérapeutique
Les AVC ischémiques sélectionnés par scanner et symptômes cliniques bénéficient de l’alteplase jusqu’à 4 h 30
Peu intéressant
La sclérodermie systémique (ScS) est une maladie auto-immune qui se complique fréquemment d’ulcères digitaux, souvent récidivants. Ces derniers peuvent engendrer infection et/ou gangrène, voire aboutir à une amputation. Ces ulcères sont à l’origine d’un handicap important. Leur prise en charge repose sur le traitement de l’ulcère actif, avec des soins locaux qui vont favoriser la cicatrisation et des traitements vasodilatateurs, Iloprost et inhibiteurs calciques, qui vont diminuer la douleur et accélérer la cicatrisation. Les mesures préventives reposent sur l’éviction des facteurs aggravant le phénomène de Raynaud,la limitation des facteurs déclenchant des ulcères (microtraumatismes), la prescription d’inhibiteurs calciques et, éventuellement, d’un inhibiteur des récepteurs de l’endothéline 1, le bosentan, en cas d’ulcères multiples récidivants.