Effet de la prolongation d’une double antiagrégation dans une cohorte de diabétiques avec stent actifs
Une antiagrégation double prolongée au-delà des recommandations officielles peut se discuter chez le diabétique
Une antiagrégation double prolongée au-delà des recommandations officielles peut se discuter chez le diabétique
Résistance à l’aspirine dans l’IDM aigu : non-observance ou association d’AINS
Echo-dobu : capacité diagnostique de haut niveau chez la femme hypertendue. Echo persantine : capacité limitée dans la détection des monotronculaires. Epreuve d’effort et scinti : bonne sensibilité, mais seulement chez des patients très sélectionnés
Stents après radiothérapie thoracique : un pronostic sombre
Le no-reflow est un facteur prédictif puissant de mortalité dans les IDM avec sus-décalage traités par angioplastie primaire
Excellente valeur diagnostique dans la détection des sténoses chez les patients présentant une douleur thoracique aiguë
L’angioplastie réservée à la lésion coupable est associée à un plus haut taux d’événements par rapport à la dilatation de tous les vaisseaux
Une origine génétique
La prise en charge diététique est à la base des recommandations de prise en charge des patients obèses. Il est actuellement recommandé de réduire les apports caloriques (sans descendre en dessous de 1 200 kcal/j), de contrôler les apports lipidiques (à un maximum de 30 % de la ration calorique quotidienne) et les apports glucidiques (à environ 50-55 % de la ration calorique totale). Dans les années 1970, les régimes très restreints en glucides ou en lipides ont été popularisés.
La notion d’index glycémique des aliments a été popularisée par D.J.Jenkins en 1981. Cela a donné lieu à l’établissement de tables d’index glycémique des aliments. Les tables les plus récentes sont même adaptées aux particularités culturelles. Un aliment à index glycémique élevé est défini comme supérieur à 70 et un aliment à index glycémique faible comme inférieur à 50. Dans la population diabétique de type 1 ou de type 2, il est indéniable que la prise en compte de l’index glycémique des aliments permet d’améliorer l’équilibre glycémique. Les résultats des essais cliniques sont plus nuancés pour ce qui concerne l’emploi des aliments à faible index glycémique comme moyen thérapeutique facilitant la perte de poids chez l’obèse sans comorbidité. Les métaanalyses suggèrent des effets favorables qui ne sont pas retrouvés dans les essais randomisés les plus récents. Il n’y a donc pas, à l’heure actuelle, de preuve que les régimes proposant des aliments à faible index glycémique puissent avoir une meilleure efficacité que les régimes ne prenant pas en compte ce paramètre pour ce qui concerne la perte pondérale.