Efficacité et sécurité d’un LDL très abaissé: Méta analyse sur 170000 participants de 26 essais.
Toute baisse de LDL de 1 mmole/L réduit de 20%/an les événements
Toute baisse de LDL de 1 mmole/L réduit de 20%/an les événements
Les hypertendus masqués sont des patients ayant une pression artérielle en consultation inférieure à 140/90 mmHg et des pressions artérielles d’activité supérieures ou égales à 135/85 mmHg en référence à un relevé d’automesure effectuée de façon standardisée.
Glycémies restant dans la norme et risque cardiovasculaire : Pas indifférent
Resynchronisation en cas de QRS fins : Oui, si asynchronisme caricatural
Supériorité du tricagrelor indépendamment du diabète et contrôle glycémique
Surpoids, obésité et maigreur excessive augmentent la mortalité
L’évolution des thérapeutiques dans le domaine des rhumatismes inflammatoires chroniques (RIC) a considérablement modifié ces dernières années leur prise en charge et permet d’obtenir aujourd’hui la rémission. Le rhumatologue dispose actuellement d’un véritable arsenal thérapeutique avec l’avènement, il y a une dizaine d’années, de biothérapies anti-TNFa, représentées par les anticorps monoclonaux (l’infliximab, l’adalimumab, le certolizumab et prochainement le golimumab) et un récepteur soluble (l’étanercept).
D’autres bio-médicaments sont actuellement disponibles, avec un agent modulateur de l’activation du lymphocyte T (l’abatacept), un inhibiteur du lymphocyte B (le rituximab) et, plus récemment, un inhibiteur de l’IL6 (le tocilizumab). Au-delà des stratégies thérapeutiques, il est important que le rhumatologue maîtrise les modalités pratiques d’utilisation et de suivi de ces molécules, ainsi que les principales situations cliniques auxquelles il va être exposé. Nous aborderons ainsi dans cet article la surveillance paraclinique de ces traitements.
Rivaroxaban dans la thrombose veineuse : amélioration du profil des anticoagulants
Association troponine T ultrasensible et mortalité
Au cours de l’infarctus aigu du myocarde, le monitorage du segment ST est nécessaire depuis la prise en charge initiale jusqu’à la sortie de l’hôpital. L’analyse des modifications initiales joue un rôle diagnostique primordial et incontournable et contribue déjà à l’évaluation du pronostic à moyen terme. A l’ère de la reperfusion, quelle que soit la technique utilisée, c’est également un marqueur de la recanalisation et des phénomènes de “no-reflow” qui conditionnent également le pronostic et la taille de l’infarctus. Les modifications de la repolarisation au décours immédiat de la reperfusion, quelques heures après ou à la sortie de l’hôpital, ont également un impact pronostique sur le risque de survenue d’événements cardiovasculaires majeurs à moyen terme. Ces règles s’appliquent également au cours des SCA ST- qui sont devenus majoritaires par rapport aux SCA ST+.