Détection des thrombi intracoronaires en IRM dans l’IDM aigu
L’IRM visualise correctement les thrombi intracoronaires chez les patients en SCA
L’IRM visualise correctement les thrombi intracoronaires chez les patients en SCA
L’IRM initiale peut apporter des informations diagnostiques intéressantes
HTA et dyslipidémie mais pas la glycémie à jeun sont dissociés de l’obésité centrale quand l’âge avance
L’origine ethnique semble influer sur le pronostic des IC, avec une mortalité à un an supérieure pour les patients d’origine chinoise
Les récepteurs Toll-like (TLR), qui tirent leur nom de leur homologie avec le gène Toll identifié chez la drosophile [1], sont des récepteurs majeurs de l’immunité innée.
On distingue classiquement en immunologie :
– l’immunité acquise, qui serait philogéniquement plus récente, plus spécifique, adaptative et douée de mémoire de l’antigène, mais plus longue à initier,
– l’immunité innée, plus rapide et moins spécifique.
Le livedo est un érythème le plus souvent violacé, réticulé (petites mailles fermées) ou ramifié (grandes mailles ouvertes) qui traduit une stase sanguine dans les veinules dermiques. Celles-ci forment des cercles adjacents et communiquant les uns avec les autres parallèlement à la surface de la peau. La stase peut être due à une diminution du débit sanguin par vasoconstriction régionale (livedo vasomoteur) ou par occlusion artériolaire ou veinulaire. Cette occlusion peut être due à des anomalies du contenu (thrombose, hyperviscosité, embolies) ou du contenant par épaississement pariétal (vascularites, dépôts calciques, pseudo-hyperplasie intimale).
Il n’est pas toujours possible de distinguer cliniquement un livedo physiologique d’un livedo pathologique. Les investigations paracliniques doivent dépendre du terrain, de l’aspect du livedo, de la présence de signes associés cutanés ou extra-cutanés. La biopsie cutanée est utile en cas d’échec diagnostique ou lorsqu’une confirmation anatomopathologique est nécessaire. La biopsie sera alors profonde, réalisée au bistouri en prenant le centre de la maille.
Diagnostic positif
1. Contexte clinique
Le diagnostic de péricardite constrictive (PC) doit être évoqué devant un tableau d’insuffisance cardiaque, le plus souvent à prédominance droite, qui ne fait pas sa preuve. Il s’agit en règle d’un diagnostic d’élimination auquel il faut penser d’autant plus facilement que la radiographie thoracique montre un cœur plutôt petit. La présence de calcifications péricardiques facilite le diagnostic. L’anamnèse recherche des antécédents de tuberculose, de radiothérapie médiastinale ou de chirurgie cardiaque, circonstances favorisantes à ne pas négliger.
Un critère seul n’est pas suffisant pour définir l’importance d’une fuite tricuspide.
Il est nécessaire d’intégrer les deux mesures bidimensionnelles (anneau et hauteur de coaptation), le retentissement ventriculaire droit et les cinq critères Doppler.
Les nouveaux textes réglementaires codifient les critères de qualité devant être présents dans les structures de réadaptation cardiovasculaire et facilitent l’admission des patients dans ces Unités. En effet, malgré les effets bénéfiques en termes de qualité de vie et de morbi-mortalité, cette prise en charge reste sous-utilisée.
Tout programme de réadaptation cardiovasculaire doit être personnalisé, adapté aux caractéristiques cliniques, socio-professionnelles et aux besoins du patient, selon des modalités comprises et adoptées d’un commun accord entre le patient et l’équipe soignante.
La Société Européenne de Cardiologie et la Société Européenne d’Athérosclérose ont émis une recommandation sur la prise en charge des dyslipidémies. Ce document est une revue exhaustive sur le diagnostic et la prise en charge des différentes dyslipidémies. L’évaluation du risque cardiovasculaire est centrale dans cette prise en charge.
De nouvelles situations à risque sont discutées. C’est le cas de l’insuffisance rénale chronique.
Des objectifs thérapeutiques stricts sont réaffirmés. En particulier, pour le LDL-cholestérol et dans le cas d’un risque cardiovasculaire élevé, l’objectif sera d’obtenir un LDL-cholestérol de moins de 0,7 g/L.
En conclusion, ce document sur la prise en charge des dyslipidémies permet de faire le point sur les avancées de ces dernières années dans le domaine.