Modifications de la fréquence cardiaque au cours du temps et décès de causes cardiaque ischémique
Une augmentation de la fréquence cardiaque de repos sur une période de 10 ans est associée à une augmentation de la mortalité
Une augmentation de la fréquence cardiaque de repos sur une période de 10 ans est associée à une augmentation de la mortalité
Pas d’augmentation de la mortalité cardiovasculaire
La mesure de la CRP ultrasensible à un seuil de 2 mg/l ne prédit la survenue d’un IDM dans 42% des cas
Plus l’abaissement du LDL est prolongé, plus le bénéfice vasculaire est ample et même après arrêt des hypolipémiants, celui-ci persiste au moins 5 ans
Trois mois de CPAP abaissent la TA et rétablissent partiellement les anomalies métaboliques
Pas de bénéfice supérieur pour la dilatation quand le délai porte-ballon dépasse 120 mn
Enoxaparine et contention pas mieux que contention seule
Efficacité identique sur de critère de l’atorvastaine et de la rosuvastatine
Les acrosyndromes de l’enfant comportent essentiellement des acrosyndromes permanents (acrocyanose essentiellement), paroxystiques (phénomène de Raynaud et, plus rarement, érythermalgie, engelures et acroparesthésies) ou transitoires (viroses, maladie de Kawasaki).
Certaines causes génétiques rares sont associées à un phénomène de Raynaud ou à un lupus-engelure, et sont à évoquer en cas d’anomalies constitutionnelles associées. L’étude de l’anamnèse et un examen clinique rigoureux sont essentiels pour orienter le diagnostic.
Les antithrombotiques, AVK et “nouveaux anticoagulants oraux” (NACO), ont apporté, apportent et apporteront des bénéfices majeurs lorsque leur indication est bien pesée.
Inéluctablement, les complications principales à attendre de ces traitements sont les surdosages avec ou sans saignement ; situations devant lesquelles il faut réagir vite… et bien.
Les autres situations génératrices de problèmes sont celles où le patient doit bénéficier d’un geste à risque hémorragique. Il est très important de se poser les bonnes questions à chaque étape : le geste est-il vraiment nécessaire ? Le risque hémorragique est-il plus important que le risque thrombotique à l’arrêt du traitement ? Est-il cohérent d’arrêter le traitement antithrombotique ? Est-il obligatoire de remplacer l’AVK ou le NACO par une héparine ? Si oui comment ?
Les recommandations publiées il y a quelques mois, qui ne traitent pas des NACO, permettent de faire le point, d’éviter des aléas… mais sont aussi “opposables” et en ce sens méritent d’être connues et appliquées.