- Épidémiologie des fractures sévères
- 1. Mortalité liée aux fractures sévères : rôle clé de la nouvelle fracture
- 2. Profil et conséquences des fractures vertébrales hospitalisées en France
- 3. Les fractures atypiques fémorales : une actualisation du rapport de la Task Force de l’ASBMR en 2013
- Évaluation du risque de fracture : de nouveaux facteurs de risque
- 1. Rôle des comorbidités
- 2. Répéter une mesure de DMO n’améliore pas la prédiction du risque de fracture
- Des nouveautés sur les traitements anti-ostéoporotiques
- 1. Des données sur l’utilisation prolongée du dénosumab
- 2. L’odanacatib : de nombreuses études mais pas de résultats de l’étude phase III
- 3. La suite des études cliniques des anticorps anti-sclérostine
- Stratégies d’utilisation des traitements : un avenir pour les combinaisons ?
- Conclusion
Épidémiologie des fractures sévères
L’actualisation des recommandations françaises du traitement médicamenteux de l’ostéoporose postménopausique, publiée en 2012, a introduit le concept de fracture sévère [1]. Ces fractures sont considérées comme sévères parce qu’elles sont associées de manière constante dans les études prospectives à un excès de mortalité et de morbidité [2, 3], notamment chez les sujets les plus jeunes [4]. Parmi les fractures fémorales, les fractures de la région sous-trochantérienne et fémorale, rapportées chez les utilisateurs de bisphosphonates, ont été mises en avant. De nouvelles données épidémiologiques font le point sur ces fractures.
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